Première partie
Bonjour,
aujourd’hui je voulais parler d’argentique. C’est dans le temps, avant c’était mieux et tout le truc. Bon, je vais relativer un peu mais il y a quelques trucs qui sont intéressants dans la pratique de l’argentique.
La contrainte du nombre
Avoir une pellicule avec un certain nombre de poses est contraignant car il est impossible de tester mais cela apporte une justesse, une plus grande rigueur et réflexion sur les clichés à prendre. Si je prends cette photo, est-ce que je cadre de cette façon ou alors d’une autre ? Avec quelle exposition ?
Le coût par cliché est largement supérieur à celui du numérique. Aussi, cela nourrira une plus grande réflexion.
La puissance du traitement
Après choix de la pellicule qui sera faite en fonction des clichés voulus, le traitement sera accessoire. C’est le film qui s’en chargera avec tous ses défauts.
Alors faut-il passer à l’argentique ? Ben non. Oui, cela peut aider la
pratique, à être mieux en numérique. Mais est-il nécessaire d’investir
?
Je ne pense pas. On dit bien qui peut le plus peut le moins.
L’argentique par le numérique
On peut le faire. Il faudra mettre des contraintes et s’y tenir. La rigueur sera donc de mise. Mais au moins, il n’y aura pas besoin d’investir.
Avant de jouer, il est nécessaire de définir les règles : le film utilisé avec son nombre de poses. Cela définira :
- le nombre de poses
- les isos à mettre en place
- la technique de développement qui sera l’objet d’un futur post
Après avoir réglé les isos, il sera temps de faire la session pratique. Il ne faut pas oublier le cadre défini, à savoir le nombre de poses. D’autres règles aussi existent :
- la non visualisation des clichés
- la non suppression pour faire, par exemple, plus de 24 photos.
Après la séance photo, ce sera au tour du développement, qui sera l’objet d’un post futur.
Bonne semaine